Din'harel Admin
Messages : 13 Date d'inscription : 17/08/2017
| Sujet: Belnos, le pourfendeur de barriques ! Dim 10 Sep - 21:11 | |
| PRÉSENTATION GÉNÉRALE
Nom : Okthrar
Prénom : Belnos
Surnom : essayez donc de lui en donner un, ça va être drôle tiens !
Âge : 45 ans
Date de naissance : an 8.89 de l'ère des bontés
Signe astrologique : /
Sexe : Mâle
Origine : Orzammar (monde de Dragon Age)
Lieu de résidence : /
Métier : mercenaire et pourfendeur de barriques.
Famille et entourage : c'est un ancien du Carta, la redoutable association naine de malfaiteurs. Pendant longtemps, lui et son cousin Winewulf l'ont considérée comme leur famille jusqu'à ce que le clan décide de se débarrasser d'eux au mépris de toutes les valeurs qu'il défendait. Il n'y a plus qu'eux à présent, et peut-être quelques lointains cousins quelque part à la surface.
Position sociale : aucune.
Langue(s) : les langues commune et naine.
COMPÉTENCES
Pouvoir : /
Talent(s) : Belnos est un voleur : silencieux et agile, il sait se faire oublier de l'ennemi pour mieux le prendre à revers des ses dagues mortelles. Il est également très doué pour faire les poches.
Arme(s) : deux dagues courtes d'origine naine.
Objet(s) : quelques pièces d'or dissimulée dans ces habits, au cas où.
Familier : /
PHYSIQUE
CARACTÈRE
Généralité : Belnos est un être simple, comme tous les nains : il n'aime rient tant que ripailler, boire à en rouler sous la table, chanter, roter et pourquoi pas, profiter de la charmante compagnie de ces dames. Il est rarement bougon, exception faite des lendemains de cuite, et n'ai pas du genre à ruminer pendant des heures sur des problèmes existentiels ; sa philosophie : profiter des petites choses avant de passer l'arme à gauche. S'il a moins souffert que son cousin de la trahison du Carta, il n'en reste pas moins sensible et chérit plus que tout sa petite troupe qu'il considère comme sa famille. Oui vraiment, c'est un nain simple et heureux
Phobie(s) : d'être aspiré par le ciel.
Point de vue politique : aucun en particulier.
HISTOIRE
La société naine repose sur une hiérarchie extrêmement rigide qu'ils appellent les « castes » : ainsi dès la naissance, les jeunes nains appartiennent à une caste spécifique et ne pourront jamais s'élever plus haut dans la société. Ainsi Belnos et son cousin Winewulf appartiennent-ils à la pire de toutes : la caste des parias, les miséreux, ceux que l'on tolère à peine plus que les rats. De cette lie purulente a alors émergé une société parallèle : le Carta, un syndicat du crime qui inspirait autant la crainte que l'envie parmi la population. Il est même connu en surface pour son... efficacité si l'on peut dire. Pour s'en sortir, les deux cousins ont très vite appris à voler, à escroquer et à courir très vite. Les années passant, leurs coups se sont fait plus ambitieux, tant et si bien qu'ils ont marché sur les plates-bandes du Carta ; fort heureusement, leur habilité les a sauvé d'une mort certaine et leur a valu une place dans ce clan. Ils y ont grandi et acquis leurs capacités de voleur, et y ont trouvé une forme de famille qu'ils n'avaient plus connu depuis bien longtemps. Mais peut-on se fier à une bande de mercenaires et d'assassins qui seraient prêts à vendre et tuer pour le plaisir père et mère ? Non, et ils le découvrirent à leurs dépens lorsque Atthor, un camarade jaloux, leur tendit un piège et les fit accuser du détournement d'une cargaison. Et s'il y a bien une chose que le Carta ne tolère pas, c'est qu'on le vole. Aussi leurs têtes sont-elles mises à prix et durent-ils fuir sans demander leur reste. Après quelques années d'errance en surface, ils firent la connaissance de Dinan'harel et des frères féreldien, qu'ils engagèrent pour tuer les assassins à leurs trousses. En remerciement, ils leur offrirent tout leur or, cependant la jeune dalatienne avait une autre idée en tête, tant et si bien qu'ils se retrouvèrent endettés et furent contraint de la suivre. Certes, leur frustration initiale était bien légitime, appréciant peu de suivre une oreilles pointues à peine torchée, mais si on leur posait la question aujourd'hui, nul doute qu'ils vous répondraient que jamais plus ils ne quitteraient ses côtés.
Comment a-t-elle rejoint (ou va-t-elle rejoindre) les sentinelles ? De manière fort simple au demeurant : leur troupe se faisaient poutrer la gueule par des engeances, il a soudainement vu une ouverture lumineuse qui semblait vachement plus sympa que ce qui lui courait au cul alors il a sauté dedans et pouf ! Dans le QG des sentinelles. | |
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